Interessant

Meneer Sel zet nog maar eens de puntjes op de i :

"Un démocrate peut-il admettre que des ministres de premier plan, qui tiennent les cordons de l’armée et de la police fédérale aillent côtoyer les néonazis et chantent de beaux hymnes nationalistes avec eux, en chœur ? Je vous laisse répondre.

Mais c’est l’ADN de la N-VA qui est à l’œuvre ici. Un acide institué en Flandre de longue date, désormais institué aussi en Belgique. Au point que la presse n’a pas jugé utile de le mettre à la une. Trois hautes éminences de l’État ont violé leur serment ce weekend et tout le monde s’en fout. C’est ce qui arrive quand on laisse entrer le loup dans la bergerie. Cette tolérance de plus en plus grande n’est au final qu’un copier-coller de ce que les Francophones, moi y compris, ont longtemps constaté en Flandre, fiers de ne pas souffrir de ce mal pénible. Sauf que voilà, les Francophones confrontés à la surtolérance au nationalisme ne sont pas différents des Flamands, et leurs médias ont fini par s’endormir au ronron rassurant d’un Aie confianssssss susurré par la voix douce et profonde de Bart De Wever.

Allons, dormons. Si ça se trouve, la fin de la Belgique a peut-être vraiment commencé à se concrétiser quand un certain Charles Michel a signé son accord de gouvernement avec ces gens-là. Alors, pourquoi résister ?

Au fond, la résistance n’est pas une bonne chose, si ça se trouve. Jan Peumans n’a-t-il pas, un jour, qualifié les résistants de la dernière guerre de « crapules de rue » ?"


De wolven zitten inderdaad in de schaapstal, en het einde is nabij ...

1 comment:

Pablo Carpintero said...

Ik heb in mijn ganse leven nooit iets anders dan onbegrip en afkeer kunnen opbrengen voor het spektakel van het VNZ. Niettegenstaande alles wat er verteld wordt blijft het een hoogfeest voor de revanchards.